Daniel Santos, un chanteur exceptionnel. Par Hernando Calvo Ospina

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L’oligarchie aurait voulu le brûler et nourrir la flamme avec ses disques. Les petits bourgeois de gauche le considéraient comme un « opium du peuple » de plus. Parce que c’était un chanteur de la marginalité ou plutôt de la majorité. Pour les ouvriers, les noirs, les chômeurs, les tueurs, les maîtresses de maison et les putains, il était un roi. Ses boléros, guarachas, mambos et sons étaient à l’honneur lors des anniversaires, des mariages, des fêtes populaires et dans les bars « mal famés ». On le vénérait.

Quand les intellectuels qui se disaient révolutionnaires mirent (...).

Hernando Calvo Ospina

Pour lire la suite : http://hcalvospina.free.fr/spip.php?article345


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