Le transhumaniste Hannes Sjöblad, teste l’implant du « passe sanitaire » sous la peau via une micro-puce

fontsizeup fontsizedown

D’après Le Parisien avec AFP, « Une entreprise suédoise, DSruptive Subdermals, spécialisée dans les implants à micro-puces, a adapté sa technologie pour proposer à ses utilisateurs d’avoir leur passe sanitaire sous la peau. » [1]

Copie


Hannes Sjöblad est l’un des co-fondateurs de cette entreprise dont le siège est à l’Epicenter de Stockhlom [2]. D’après la journaliste Amaelle Guiton, il est « l’un des initiateurs du mouvement biohacker en Suède » et « en s’injectant des puces sous la peau, certains biohackers rêvent de faire fusionner l’homme et la machine ». « Ouvert en 2015 et dédié aux entreprises technologiques en croissance, le lieu [l’Epicenter] est aussi un réseau qui compte quelque 300 sociétés membres ; jusqu’à l’année dernière, Spotify, le leader mondial du streaming musical, y avait des bureaux, souligne Sjöblad, qui est le “directeur de la disruption” du complexe. À l’Epicenter, des dizaines d’employés se sont fait “pucer”. L’implant sous-cutané leur sert à accéder aux locaux, à utiliser les photocopieurs ou à payer leurs consommations à la cafétéria. » [3]

Hannes Sjöblad est également co-fondateur de l’association BioNyfiken qui entend promouvoir le transhumanisme.
Ci-dessous, l’une de ses interventions en novembre 2016 :


« As a bodyhacker, he does not step back from experimenting with technology with his own body, and his vision is of a future where the human body has radically different capabilities than it does today. » [4]

J.G.

Voir en ligne : Public Sénat : « Conversation d’avenirs » du 8 novembre 2008 avec Jacques Attali sur la RFID.