Il y a 40 ans, un virus idéologique se répandait sur le monde. Un Alain Minc, héraut autoproclamé, l’appelait « la mondialisation heureuse ».
Refusant toute contestation, le bienheureux Minc s’inquiétait de voir la France être le mauvais élève de la modernité. Il entrainait d’autant plus facilement (...)