Grèce : déroute de l’UMPS grecque (« Nouvelle Démocratie » & Pasok) à la botte de la Troïka

fontsizeup fontsizedown

Tableau récapitulatif des résultats avec une comparaison par rapport à ceux de 2009. L’abstention est de 34,90%, alors que le vote est en principe obligatoire. Le parlement grec compte 300 députés. Les sept partis qui y seront représentés :

- « Nouvelle Démocratie » - ΝΔ : 18,85% des suffrages (108 sièges - έδρες -)
- Syriza - ΣΥΡΙΖΑ : 16,78% (52)
- Pasok - ΠΑΣΟΚ : 13,18% (41)
- Grecs indépendants - Ανεξάρτητοι Έλληνες : 10,6% (33)
- KKE : 8,48% (26)
- Aube dorée - Χρυσή Αυγή : 6,97% (21)
- Gauche démocratique - Δημοκρατική Αριστερά : 6,11% (19)

Les trois formations politiques - ΝΔ, Pasok et Laos (formation d’extrême-droite) - ayant participé au gouvernement d’« union nationale » s’effondrent. Les Grecs ont rejeté dimanche le diktat de la Troïka.
Aujourd’hui, Antonis Samaras (ΝΔ) a échoué dans la formation d’un gouvernement. Pour atteindre cet objectif, le président Papoulias recevra demain Alexis Tsipras, leader de la Coalition de la gauche radicale (Syriza).

Résultats - élections législatives - Grèce - 6 mai 2012

Voir en ligne : La Grèce à la recherche de son destin et de sa vérité. Une Assemblée constituante ?