En 1992, Nicole Notat prend la tête de la CFDT dans des circonstances controversées, quelques mois après la démission forcée de Jean Kaspar, le précédent numéro un (1988-1992). Certains militants parleront d’un « putsch ». Elle est partisane d’un syndicalisme « partenaire » à l’allemande - « complaisant, (...)