Le 23 juin 1940, Eugène Ionesco écrit à Alphonse Dupront :
« [...] Même si, par malheur pour ce monde égoïste, cruel et stupide, la France devait mourir, [...] elle s’est sauvée spirituellement. Péguy souhaitait à la France le salut spirituel même si cela entraînait la mort temporelle. Le désastre dont (...)